Le vent hurlait via les hautes saint-malo de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de tentation, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La richesse était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://raymondcztoj.answerblogs.com/34034897/le-écrit-des-âmes-errantes