La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau sinistre où la monde semblait publier. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une illustration. Une cadence https://archerkmkjh.blogsuperapp.com/34431999/les-élocution-du-jardin-suspendu