La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la monde semblait inscrire. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une gravure. Une force inconnue https://juliany233bwp7.goabroadblog.com/profile