En 2150, à Dubaï, les corbeil-essonnes de cristal se dressaient comme des aiguilles plantées dans le ciel, immobiles et froides. Parmi elles, la plus très haute n’avait ni sobriquet ni logo. Seuls celui qui en franchissaient les portes connaissaient sa fonction : délivrer le futur. Dans un univers saturé d’algorithmes https://frankq368yza3.blogsidea.com/40382266/les-échos-de-l-avenir-effacé