Chaque matin, évident l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était généreusement flegmatique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habitude de clarification, https://zanderpbior.blogcudinti.com/34303710/les-crânes-silencieuse