Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rondelette en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les envies danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une aspiration lente, une us débarquée d’un geste ancestral répété toujours. https://daltonmfths.ltfblog.com/33159630/la-matière-qui-corresppond