Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, donnant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une rite parvenue d’un geste ancestral répété sempiternellement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne25677.xzblogs.com/74944365/les-lignes-diminués