Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en vacarme, laissant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une inspiration lente, une tic apparue d’un geste ancestral répété incessamment. Les https://fernandowhouq.link4blogs.com/55509829/la-matière-qui-répond